Complètement
ancré dans une époque, sans tenue et sans teneur, s'en remettant à une
improbable improvisation ou à une supposée capacité à saisir les choses,
Jean-Michel Barjol filme des personnes lâchées sur un gigantesque plateau.
Cette débauche et cette frénésie se révèlent bien sûr être un grand n’importe quoi,
sans créativité, sans émotion, mais qui laisse paraître les grandes prétentions
artistiques des participants autant que celles du réalisateur.
Malgré la curiosité de la distribution (on croise dans ce fourre-tout Bernadette Lafont, Jacques Doillon ou quelques autres acteurs reconnus), on oublie vite ce gloubi-boulga, qui ne peut guère intriguer bien longtemps.
Malgré la curiosité de la distribution (on croise dans ce fourre-tout Bernadette Lafont, Jacques Doillon ou quelques autres acteurs reconnus), on oublie vite ce gloubi-boulga, qui ne peut guère intriguer bien longtemps.
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