Éblouissant
film de John Huston qui, à quatre-vingt un ans, réalise un film mélancolique et
calme, comme un dernier regard sur le monde. Incroyable de maîtrise, de
ressenti, d’humeur douce et chaude, The Dead surprend d’autant plus que ses derniers
films (L’Honneur des Prizzi notamment)
n’étaient guère convaincants.
Avec une maîtrise totale, il compose, sur un rythme calme, une soirée de Nouvel an toute en retenue, dans un monde guindé mais chaleureux, un peu perturbé par le frère alcoolique, dans cette société bourgeoise, où les apparences comptent pour tout et il nous semble être invités parmi les gens de la famille.
Volontiers élégiaque, entrecoupé de séquences magistrales et émouvantes (le chant dans la cage d’escalier), Huston, avec ce film testamentaire merveilleux, parvient à faire oublier les films mineurs qui émaillent ses années de travail et donne presque une humeur différente à toute son œuvre.
Avec une maîtrise totale, il compose, sur un rythme calme, une soirée de Nouvel an toute en retenue, dans un monde guindé mais chaleureux, un peu perturbé par le frère alcoolique, dans cette société bourgeoise, où les apparences comptent pour tout et il nous semble être invités parmi les gens de la famille.
Volontiers élégiaque, entrecoupé de séquences magistrales et émouvantes (le chant dans la cage d’escalier), Huston, avec ce film testamentaire merveilleux, parvient à faire oublier les films mineurs qui émaillent ses années de travail et donne presque une humeur différente à toute son œuvre.
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