Le dernier film de Bertrand Tavernier est décevant : il n’est qu’une
comédie non pas déplaisante mais un peu vaine et qui repose essentiellement sur
le cabotinage de Thierry Lhermitte et la fausse retenue de Niels Arestrup.
Pour le reste Quai d’Orsay pâtit de son survol permanent : tout à sa volonté de montrer la frénésie superficielle du cabinet ministériel, il en oublie de fouiller un peu les personnages et il reste en surface, comme si le genre empêchait de développer les choses. Même Arthur (Raphaël Personnaz), censé être au cœur du film et qui sert de relais au spectateur, reste particulièrement atone et vide.
Pour le reste Quai d’Orsay pâtit de son survol permanent : tout à sa volonté de montrer la frénésie superficielle du cabinet ministériel, il en oublie de fouiller un peu les personnages et il reste en surface, comme si le genre empêchait de développer les choses. Même Arthur (Raphaël Personnaz), censé être au cœur du film et qui sert de relais au spectateur, reste particulièrement atone et vide.
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