Rien
de bien palpitant dans ce deuxième film de Tobe Hooper qui reprend plusieurs
grandes lignes du coup de tonnerre de Massacre à la tronçonneuse.
Un
détraqué, des jeunes insouciants, une maison loin de la civilisation – îlot de wilderness qui reprend le principe de Massacre… – et un vilain crocodile bien
pratique pour achever les uns ou faire disparaître les cadavres des autres. Hooper
use d’une image sale, tantôt rouge-sang, tantôt emplie de brumes : on ne peut
guère lui en vouloir de reprendre l’esthétique trash et sordide du Massacre. Mais au-delà de ces reprises un peu faciles, rien de bien nouveau,
déjà, dans ce film, qui peine à tenir en haleine, tant tout est entendu dès les premières
minutes.
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