À
mi-chemin entre le film de braquage et le film catastrophe, Pluie d’enfer apparaît pourtant très
conventionnel et déçoit quelque peu. L’intrigue se résume à une
course-poursuite au milieu des eaux qui montent et où les uns et les autres se
tirent dessus dans tous les sens, comme une longue scène d’action
presqu’ininterrompue.
Et comme le spectateur n’est pas habitué à voir Morgan
Freeman en bad guy, le scénario y pourvoit : son personnage glisse peu à
peu du bon côté, laissant le rôle de méchants aux rednecks locaux. Mais ce
scénario peu crédible (sans parler même du dénouement) est bien peu
convaincant.
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