Intéressant
film de science-fiction qui cherche à retomber sur ses pieds en jouant avec les
voyages dans le temps. Autour de ce thème compliqué à gérer, il est toujours curieux
de voir comment s’y prend le scénario pour ne pas se prendre les pieds dans le
tapis. Ici le film rend immédiatement le voyage dans le temps très rare (il est
illégal) et destiné à une fin bien précise (éliminer les témoins gênants en les
envoyant dans le passé). Mais Rian Johnson s’amuse de ces allers-retours
jusqu’au délicieux moment où Joe se voit débarqué, plus âgé, venant du futur. Le
film joue alors parfaitement des paradoxes temporels.
Cela dit il faut reconnaître que c’est ce jeu du scénario autour du voyage dans le temps qui fait l’intérêt de Looper, qui n’est, par ailleurs, qu’un film d’action assez conventionnel.
On notera que la clef du film joue sur un personnage qui, du fait de ces délicieux paradoxes des voyages dans le temps, provoque (presque) ce qu’il veut éviter. Et l’on remarquera même que, à l’instar de son rôle décisif dans L’Armée des douze singes, c’est à nouveau l’ami Bruce Willis qui est au cœur de cette affaire.
Cela dit il faut reconnaître que c’est ce jeu du scénario autour du voyage dans le temps qui fait l’intérêt de Looper, qui n’est, par ailleurs, qu’un film d’action assez conventionnel.
On notera que la clef du film joue sur un personnage qui, du fait de ces délicieux paradoxes des voyages dans le temps, provoque (presque) ce qu’il veut éviter. Et l’on remarquera même que, à l’instar de son rôle décisif dans L’Armée des douze singes, c’est à nouveau l’ami Bruce Willis qui est au cœur de cette affaire.
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