lundi 19 août 2024

Autant en emporte mon nunchaku (Satsujin ken 2 de S. Ozawa, 1974)

 



Suite inévitable (vu son succès) du premier opus, celle-ci n’apporte rien si ce n’est de resservir strictement le même plat, ce qui est à peu près la définition du cinéma d’exploitation. On retiendra le titre français amusant qui ne cherche pas à cacher le peu de valeur du film.
Et l’on s’amuse (au milieu d’un long bâillement bien difficile à réfréner) d’une ou deux frappes de Sonny Chiba, dont celle, dans la nuque, qui fait sortir de leurs orbites les yeux du méchant : vu les effets spéciaux, on ne saurait dire si les spectateurs, en 1974, riaient comme nous aujourd’hui ou s’ils se réjouissaient des performances de leur champion.



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