vendredi 17 janvier 2025

125 rue Montmartre (G. Grangier, 1959)

 



Polar inégal qui, après une première heure assez poussive (avec ce Julien assez pénible dont s’encombre assez inexplicablement l’ami Ventura), devient davantage prenant à mesure que l’intrigue se noue. La dernière demi-heure, alors, est davantage réussie, en étant portée, notamment, par un Jean Dessailly très bien en commissaire à qui on ne la fait pas.
Lino Ventura, lui, n’est guère aidé par son personnage qui se fait embobiner et il peine à  lui donner du souffle.

 

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