
Polar inégal qui, après une première heure
assez poussive (avec ce Julien assez pénible dont s’encombre assez
inexplicablement l’ami Ventura), devient davantage prenant à mesure que
l’intrigue se noue. La dernière demi-heure, alors, est davantage réussie, en
étant portée, notamment, par un Jean Dessailly très bien en commissaire à qui
on ne la fait pas.
Lino Ventura, lui, n’est guère aidé par son personnage qui se fait embobiner et il
peine à lui donner du souffle.
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