Stuart Rosenberg (surtout connu pour Luke la main froide, Amityville ou encore Brubaker) propose un polar sans grande saveur, articulé
autour de la figure de Charles Bronson (massif et taiseux, comme toujours) qui
affronte des méchants très conventionnels (Rod Steiger en parrain bégayant,
Henry Silva en exécuteur).
La mini-originalité de situer l’essentiel de l’intrigue
en Suisse (avec des séquences dans la neige) n’apporte pas grand-chose à ce film
très conventionnel et prévisible.
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