
Texas,
nous voilà,
l’un des rares films américains d’Alain Delon, est en plus une comédie, genre
qui ne lui va pas du tout. Derrière la star Dean Martin, Delon fait ce qu’il peut
mais la sauce ne prend pas. D’autant qu’ici le genre l'oblige à surjouer (c’est là qu’il n’est pas bon) et à donner vie à un personnage
superficiel, lui qui a si bien épaissi des personnages avec des jeux
minimalistes.
Le film de Michael Gordon, alors,
déroule ses excès d’aventures et ses petits gags sans grande saveur, donnant un
ensemble largement oubliable.
Si l’on doit retenir des films de la
tentative américaine de Delon, c’est vers les deux autres qu’il faut se tourner,
qui sont bien plus remarquables : Les Centurions et Les Tueurs de San Francisco.
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