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mardi 25 juillet 2017

Le Trou normand (J. Boyer, 1952)




Toute petite comédie franchouillarde, très typée années 50, articulée autour d’un Bourvil qui fait le simple d’esprit. Mais, malgré l’atmosphère villageoise bon enfant et la brochette d’acteurs de la période (Noël Roquevert, Pierre Larquey, etc.), on aura bien du mal à se réjouir, tant tout cela est caricatural, naïf et sans aucune surprise. Bourvil est ici très quelconque, bien loin de ses meilleurs rôles comiques.
A noter la présence de Brigitte Bardot, qui n’utilise pas encore la sexualité sauvage qui émane d’elle et qui fera son mythe : sous des dehors qui se veulent agités et rebelles, son personnage n’est qu’une version très traditionnelle de la cousine revêche dont on tombe amoureux.


samedi 6 décembre 2014

Nous irons à Paris (J. Boyer, 1950)




Film qui se veut léger et enjoué mais qui a beaucoup vieilli, notamment à cause du ton de fantaisie musicale qui l'envahit. L'ensemble est souriant, parfois drôle, sympathique, mais avec un inévitable côté kitsch vieillot.
Mais le film retrace avec amusement les premières radios libres (dites « pirates » à l'époque) et l'opposition (ici dans une forme comique simpliste) entre les jeunes (bohèmes avant l'heure) et leurs parents (classiques et réactionnaires).