Walker (Stallone) prend des coups et les rend, tant et si bien qu’il gagne à la fin. Même l’originalité de départ (le film se déroule dans des hauts sommets enneigés, ce qui change un peu des ambiances urbaines conventionnelles) est vite laminée par la bêtise ambiante du scénario et des personnages. La mise en scène de Harlin, quant à elle, est d'une fadeur et d'un conformisme fatigants.
Bien entendu, comme pour mieux contraster avec son affligeante médiocrité, cette série Z bodybuildée à coup de dollars fut un succès au box-office…