Film de
science-fiction qui mélange anticipation et voyages dans le temps, Zardoz est plombé par sa forme terriblement vieillie et kitsch. Il
faut voir le look de Sean Connery pour le croire. Et cette forme qui part un
peu dans tous les sens n’aide pas à suivre les divers messages plus ou moins
éthérés et métaphysiques qui parsèment le film.
On retiendra
une communauté repliée sur elle-même, dans un (prétendu) oasis de bonheur à la
recherche du savoir ultime. Pour le reste on se perd dans les diverses possibilités d'interprétations qui semblent pour le moins ambitieuses.
On tentera de
sauver le film en l’inscrivant parmi les films d’anticipation de la période (Silent running, L’Âge de cristal – duquel il est assez proche par bien des aspects
–, Le Survivant, etc.).
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