Cette
adaptation de Louis Malle du fameux roman de Raymond Queneau, si elle propose
de bonnes séquences, peine pourtant à convaincre. Malgré toute son inventivité,
le film reste sur un registre burlesque très superficiel.
Louis Malle, pourtant, s’en donne à cœur, joie, jouant de mille artifices cinématographiques pour donner une frénésie à ce week-end parisien (montage dissonant, accélérations, plans débullés, acteurs multi rôles, incongruités diverses). Le burlesque est décidément un genre bien difficile à appréhender.
Philippe Noiret, avec son air débonnaire trop surjoué, n’aide pas à contrebalancer l’énergie de la petite Catherine Demongeot qui fait ce qu’elle peut (mais en fait trop) en s’agitant dans tous les sens.
Louis Malle, pourtant, s’en donne à cœur, joie, jouant de mille artifices cinématographiques pour donner une frénésie à ce week-end parisien (montage dissonant, accélérations, plans débullés, acteurs multi rôles, incongruités diverses). Le burlesque est décidément un genre bien difficile à appréhender.
Philippe Noiret, avec son air débonnaire trop surjoué, n’aide pas à contrebalancer l’énergie de la petite Catherine Demongeot qui fait ce qu’elle peut (mais en fait trop) en s’agitant dans tous les sens.
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