Fort du succès de son pourtant médiocre Blood Feast, Lewis remet le couvert : on a droit ici au
démembrement, à la désarticulation, à l’écrabouillage de divers quidams,
taillés en pièces par une tripotée de bourreaux. Toutes ces joyeusetés sont
l’occasion de jolis aplats de couleur rouge : le sang, à l’époque, tient
de la belle sauce tomate rouge vif.
Lewis est donc le premier à profiter du filon qu’il pressent. Il aurait tort de se priver, le cinéma gore, qui en est à ses balbutiements, va rapidement connaître un essor qui fera de lui une irrésistible planche à billets.
Lewis est donc le premier à profiter du filon qu’il pressent. Il aurait tort de se priver, le cinéma gore, qui en est à ses balbutiements, va rapidement connaître un essor qui fera de lui une irrésistible planche à billets.
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