Ce film éblouissant, grand chef-d'oeuvre du néoréalisme, est l'un des plus touchants et des plus universels du cinéma.
Une fois encore De Sica peint ce qui semble
être une errance, une course vers le vide d'un pauvre homme, à qui il ne reste
plus rien, si ce n'est un petit chien, qui l'accompagne et, finalement sans
doute, le sauve.
La séquence finale – la tentation du suicide auprès du train –
est exceptionnelle à la fois par sa simplicité et par sa puissance : De Sica
parvient à toucher le fond de l'âme humaine en quelques plans.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire