Amusante et légère comédie de Vittorio De Sica qui contraste
avec l’image habituelle du réalisateur, souvent indissociable des drames du
néoréalisme.
Ici non seulement le ton est léger, mais le scénario est une sorte de rêve (puisque Elisa, qui écrit des lettres amoureuses à une personne qui n’existe pas, voit débarquer cette personne, bien réelle, et tomber amoureuse de ces lettres enflammées). Il y a une dimension de conte de fée dans le film, qui contraste avec la terrible période de l’Italie au cœur de la guerre.
Rythmée par des quiproquos, cette comédie, certes superficielle, fait planer un ton de fraicheur sur des temps bien sombres.
Ici non seulement le ton est léger, mais le scénario est une sorte de rêve (puisque Elisa, qui écrit des lettres amoureuses à une personne qui n’existe pas, voit débarquer cette personne, bien réelle, et tomber amoureuse de ces lettres enflammées). Il y a une dimension de conte de fée dans le film, qui contraste avec la terrible période de l’Italie au cœur de la guerre.
Rythmée par des quiproquos, cette comédie, certes superficielle, fait planer un ton de fraicheur sur des temps bien sombres.
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