Si le film de Masahiro
Shinoda a incontestablement vieilli, si son rythme est inégal et si certaines
séquences sont devenues, avec le temps, assez kitsch, il faut reconnaître que L’Étang du démon parvient à bien
exploiter son idée et à la dérouler jusqu’au bout. On comprend peu à peu ce qui
étreint Akira, devenu sonneur de cloche. Et la fin, que l’on comprend
inéluctable, est très réussie et spectaculaire.
Les séquences étonnantes – à la fois fantastique et oniriques – où les différents crabes et autres poissons s’entretiennent dans l’étrange grotte autour de la princesse Shirayuki ont pu servir d’inspiration – ils en sont en tous les cas une étonnante version filmée – au bestiaire fantasmagorique et inventif de Miyazaki.
Les séquences étonnantes – à la fois fantastique et oniriques – où les différents crabes et autres poissons s’entretiennent dans l’étrange grotte autour de la princesse Shirayuki ont pu servir d’inspiration – ils en sont en tous les cas une étonnante version filmée – au bestiaire fantasmagorique et inventif de Miyazaki.
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