Anticipant
les délires de la téléréalité et poussant, comme il se doit, le curseur un
cran plus loin, Yves Boisset tire à boulets rouges sur le spectacle
télévisuel dans tout ce qu’il a de cynique et aussi sur les foules avides qui
cautionnent ce sinistre show.
Si ce n’est la destinée meurtrière du jeu on retrouve des équivalents récents qui rendent le jeu télévisé du film tout à fait crédible.
Mais il est bien dommage que Boisset avance toujours avec de gros sabots : ses personnages sont très caricaturaux et la dénonciation, très lourde, quand bien même elle peut être assez juste, a peu de portée.
L’idée force du Prix du danger évoque de nombreux films, notamment américains, en particulier Network qui montrait déjà toute la dimension outrancière et jusqu’au-boutiste du spectacle télévisuel ou encore Rollerball, dont le jeu destiné à captiver les foules dérive jusqu’au sang ou même La Course à la mort de l’an 2000, qui joue aussi de l’avidité du public pour le sang au travers de puissants relais médiatiques.
Si ce n’est la destinée meurtrière du jeu on retrouve des équivalents récents qui rendent le jeu télévisé du film tout à fait crédible.
Mais il est bien dommage que Boisset avance toujours avec de gros sabots : ses personnages sont très caricaturaux et la dénonciation, très lourde, quand bien même elle peut être assez juste, a peu de portée.
L’idée force du Prix du danger évoque de nombreux films, notamment américains, en particulier Network qui montrait déjà toute la dimension outrancière et jusqu’au-boutiste du spectacle télévisuel ou encore Rollerball, dont le jeu destiné à captiver les foules dérive jusqu’au sang ou même La Course à la mort de l’an 2000, qui joue aussi de l’avidité du public pour le sang au travers de puissants relais médiatiques.
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