
Film à la trame assez classique,
ce qui n’est finalement pas si fréquent chez Jean-Jacques Annaud, dont le seul
défi a été de reconstituer à l’image le désert d’Arabie des années 30.
Si le film est bien construit, il
reste assez conventionnel, avec le fils savant qui apparaît comme un tacticien
hors-pair puis, tel Laurence d’Arabie, le voilà qui galvanise bientôt ses
hommes, regroupe des tributs et humilie les troupes de l’émir Nessib.
Sans démériter et fournissant son
lot d’exotisme, Or noir reste
cependant un film mineur de Annaud, loin de ses films les plus originaux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire