
Film bien décevant, sans saveur, empli de
situations auxquelles on ne croit guère et de personnages insipides. Mais
Jean-Jacques Beineix, qui aura peu tourné, semble avoir perdu son coup de patte
cinématographique, jadis capable de capter l’énergie et la puissance des choses
(qu’on se rappelle 37°2 le matin).
Mais, ici, il n’y a rien d’autre à l’image que cette histoire un peu
abracadabrante, autour de personnages fades.
Même l’ami Montand, dont c’est le
dernier rôle, doit composer avec un rôle de clochard idéaliste qu’il a bien du
mal à épaissir. On est bien désolé de le voir finir sur un film aussi terne et
artificiel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire