Bresson et la vie et la mort de ses films :
« Mon
film naît une première fois dans ma tête, meurt sur le papier ; est ressuscité
par les personnes vivantes et les objets réels que j'emploie, qui sont tués sur
pellicule mais qui, placés dans un certain ordre et projetés sur un écran, se
raniment comme des fleurs dans l'eau.
Cinématographier quelqu'un, ce n'est pas
le douer de vie. C'est parce qu'ils sont vivants que les acteurs rendent une
pièce de théâtre vivante. »
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