Remake
décontracté du film de Milestone, qui vaut pour l’ambiance cool, chic, sport et
high-tech orchestrée par Steven Soderbergh dont la fluidité narrative déroule
avec facilité le braquage complexe organisé par Danny Ocean et sa bande.
Soderbergh, dans
un style assez documentaire mais chatoyant, enlevé et même clairement séducteur,
prend un évident plaisir à diriger sa bonne brochette d’acteurs (y compris du
côté des méchants : Andy Garcia est venimeux à souhait) et à jouer sur un rythme
parfait, joueur et plein d’élan (bonifiant le film original qui était trop
mollasson).
L’idée, évidemment, est de se laisser porter, sans trop chercher à décortiquer les rouages de l’organisation ou à bien saisir tous les artifices (ce que bon nombre de films de braquage incitent à faire). Il s’agit de prendre un plaisir cinématographique simple : Soderbergh, en définitive, a peu de choses à dire, mais il les dit très bien.
Le succès du film, c’était inévitable, a entraîné deux suites assez faiblardes (Ocean’s Twelve et Ocean 13), qui surjouent la décontraction et tournent rapidement à vide.
L’idée, évidemment, est de se laisser porter, sans trop chercher à décortiquer les rouages de l’organisation ou à bien saisir tous les artifices (ce que bon nombre de films de braquage incitent à faire). Il s’agit de prendre un plaisir cinématographique simple : Soderbergh, en définitive, a peu de choses à dire, mais il les dit très bien.
Le succès du film, c’était inévitable, a entraîné deux suites assez faiblardes (Ocean’s Twelve et Ocean 13), qui surjouent la décontraction et tournent rapidement à vide.
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