Guillermo del Toro repart sur une
idée d’insectes (comme dans Cronos,
son premier film) et développe une version bien banale du film catastrophe avec
invasion d’insectes géants à la clef. Si le film évoque les premiers films de monstres des années 50 (Them!...), il lorgne aussi du côté d’Alien avec des cafards géants qui se
relèvent progressivement.
Mais les personnages sont désespérément lisses et creux, hormis, peut-être, l’enfant qui apporte une petite touche (très légère) de conte.
C’est en oubliant les tendances grand-guignol d’Hollywood et en renforçant son aspect à la fois fantastique et merveilleux que Guillermo del Toro sera plus à l'aise.
Mais les personnages sont désespérément lisses et creux, hormis, peut-être, l’enfant qui apporte une petite touche (très légère) de conte.
C’est en oubliant les tendances grand-guignol d’Hollywood et en renforçant son aspect à la fois fantastique et merveilleux que Guillermo del Toro sera plus à l'aise.
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