La version de Yves Angelo, bien que constellée de stars, est peu convaincante et très inférieure à celle de René Le Hénaff. On est, comme souvent, beaucoup plus dans le rendu appliqué d’une époque que dans le ressenti d’une atmosphère ou d’un univers. Il y a bien peu d'émotions, donc, dans cette adaptation de Balzac. Gérard Depardieu est un Chabert peu efficace et trop attendu, son œil est trop brillant. Fanny Ardent est déjà oubliée et il n’est guère que Fabrice Luchini qui fasse un très bon maître Derville.
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