Film
assez quelconque, surtout de la part de R. Fleischer, capable de bien mieux.
Sous
couvert d’une histoire vraie, Fleischer suit sans grande conviction la traque
du meurtrier (à coups de split-screen vieillots - quand bien même leur utilisation est très innovante à l'époque -, manière pour lui d’annoncer
la schizophrénie du meurtrier) puis ses confrontations avec l’enquêteur pour
tenter de saisir sa culpabilité. On est alors dans une histoire psychanalytique
finalement assez peu passionnante, la culpabilité de DiSalvo ne faisant aucun
doute.
Si
l’ensemble, très typé années 70, n’est pas mauvais, on est très loin du chef-d’œuvre
qui suivra, sur le même thème, quelques années plus tard.
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