samedi 18 juillet 2020

Armageddon (M. Bay, 1998)




À force de dire sans cesse que les héros hollywoodiens en font des tonnes et sauvent le monde, Bruce Willis relève le gant et, avec sa fine équipe de bras cassés, sauve, effectivement, le monde.
On laissera de côté, bien entendu, tout ce qui peut avoir trait à une quelconque plausibilité, un quelconque réalisme, un quelconque quoi que ce soit, d’ailleurs, tant le film sombre peu à peu dans un n’importe quoi ridicule mais que l’élan du film porte, comme s’il n’avait pas conscience de son extravagance. Mais il faut reconnaître que assumer son jusqu’au-boutisme et sa surenchère sans limite est une qualité de cet Hollywood bulldozérien.



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