Dans ce petit
film de Howard Hawks, si la première partie est très réussie – avec notamment
la remarquable séquence très spectaculaire de l’abattage des troncs qui
dévalent les pentes pour se ficher dans l’eau – la seconde est beaucoup plus
conventionnelle.
On est ici dans le cinéma de commande très hollywoodien, mais on retrouve des thématiques chères à Hawks, notamment la construction autour de l’amitié, avec de beaux élans nostalgiques sur le temps révolu et les moments passés. C’est cette amitié qui aidera Barney à prendre conscience qu’il se fourvoie et que ses sacrifices (abandonner celle qu’il aime pour préférer un mariage garantissant sa fortune) furent des erreurs terribles.
On est ici dans le cinéma de commande très hollywoodien, mais on retrouve des thématiques chères à Hawks, notamment la construction autour de l’amitié, avec de beaux élans nostalgiques sur le temps révolu et les moments passés. C’est cette amitié qui aidera Barney à prendre conscience qu’il se fourvoie et que ses sacrifices (abandonner celle qu’il aime pour préférer un mariage garantissant sa fortune) furent des erreurs terribles.
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