Après un
démarrage un peu terne, Embrasse-moi,
chérie prend son envol et le film devient de plus en plus savoureux. Construit
– comme de nombreux spectacles de Broadway et de nombreuses comédies musicales
– sur la mise en scène d’un spectacle, on déambule alors entre scène et
coulisses, entre crises de couple et jeux d’acteurs.
Le film s’amuse du double jeu génial de l’intrigue de la pièce jouée (La Mégère apprivoisée) qui reprend le duo amoureux des acteurs. George Sidney conjugue alors avec talent la comédie de remariage et la comédie musicale. On retrouve, par instants, la verve de To Be or Not to Be (et la truculence d’Howard Keel évoque par moments Jack Benny). Les moments de chant et de danse ponctuent parfaitement le film qui est une très grande réussite du genre.
Le film s’amuse du double jeu génial de l’intrigue de la pièce jouée (La Mégère apprivoisée) qui reprend le duo amoureux des acteurs. George Sidney conjugue alors avec talent la comédie de remariage et la comédie musicale. On retrouve, par instants, la verve de To Be or Not to Be (et la truculence d’Howard Keel évoque par moments Jack Benny). Les moments de chant et de danse ponctuent parfaitement le film qui est une très grande réussite du genre.
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