Intéressant film
très intimiste de Richard Attenborough qui s’intercale entre des grosses
productions (Un pont trop loin et Gandhi). Centré sur un personnage et
opérant un resserrement de plus en plus fort autour de lui, le scénario
commandait un acteur remarquable : Anthony Hopkins joue parfaitement ce
ventriloque qui perd pied peu à peu.
La sècheresse austère de la mise en scène convient très bien au sujet et laisse la part belle aux personnages, avec, au cœur du film, ce duo terrible et maléfique : Corky développe cette relation terrible avec sa marionnette qui devient peu à peu un personnage envahissant – comme un ça freudien, mais organisé et méthodique – et qui le phagocyte progressivement.
La sècheresse austère de la mise en scène convient très bien au sujet et laisse la part belle aux personnages, avec, au cœur du film, ce duo terrible et maléfique : Corky développe cette relation terrible avec sa marionnette qui devient peu à peu un personnage envahissant – comme un ça freudien, mais organisé et méthodique – et qui le phagocyte progressivement.
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