Amusant voyage
dans l’imaginaire que ce récit haut en couleur qui entremêle l’imaginaire de
l’Orient (avec Bagdad et ses magnificences) et la mythologie grecque (des cyclopes
gigantesques). On y croise avec plaisir toute sorte de monstres, de maléfices, de cavernes
remplies d’or ou encore un génie qui sort de sa lampe.
Nathan Juran équilibre le tout avec un très bon sens du rythme et Ray Harryhausen, le pape des effets spéciaux des années 50, s’en donne à cœur joie. Bien sûr, aujourd’hui, on sourit de ces monstres et autres squelettes de cartons-pâte bricolés et incrustés tant bien que mal, mais tout cela donne un charme certain aux péripéties fantastiques du marin et de sa belle.
Nathan Juran équilibre le tout avec un très bon sens du rythme et Ray Harryhausen, le pape des effets spéciaux des années 50, s’en donne à cœur joie. Bien sûr, aujourd’hui, on sourit de ces monstres et autres squelettes de cartons-pâte bricolés et incrustés tant bien que mal, mais tout cela donne un charme certain aux péripéties fantastiques du marin et de sa belle.
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