Il n’est pas certain que ce soit
l'actrice Jeanne Eagels elle-même – dont le film retrace la biographie – qui ait
intéressé George Sidney, mais bien plutôt Kim Novak, qui tient son rôle. Le
film est en effet centré davantage sur l’actrice qui fait une partition
étonnante, avec cette beauté à la fois parfaite et imparfaite d’où émane quelque
chose d’étrange, d’insolite.
Le personnage, alors, montre une fragilité contrebalancée par une ambition immense, un talent rattrapé par une autodestruction. L’ironie est que Jeanne Eagels ne trouve son équilibre qu’aux côtés de Sal, mais il s'agit d'un équilibre destructeur puisque l’un et l’autre, sans cesse, sont en décalage, ne s’accordant pas sur leurs ambitions ou sur leurs destins.
George Sidney capte alors parfaitement la fatalité qui s’abat sur ce personnage seul et qui ne parvient pas à équilibrer son ambition, ses émotions et ses faiblesses.
Le personnage, alors, montre une fragilité contrebalancée par une ambition immense, un talent rattrapé par une autodestruction. L’ironie est que Jeanne Eagels ne trouve son équilibre qu’aux côtés de Sal, mais il s'agit d'un équilibre destructeur puisque l’un et l’autre, sans cesse, sont en décalage, ne s’accordant pas sur leurs ambitions ou sur leurs destins.
George Sidney capte alors parfaitement la fatalité qui s’abat sur ce personnage seul et qui ne parvient pas à équilibrer son ambition, ses émotions et ses faiblesses.
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