Dans cette suite
de Farrebique, tournée quelques trente-huit ans plus tard, Georges Rouquier
reprend les lieux et les personnages et contemple les choses : on voit
alors, sous nos yeux, ce qui était la campagne d’avant se transformer, se
moderniser et les fermes familiales devenir de véritables entreprises,
mécanisées et industrielles. C’est la mutation des campagnes que Rouquier saisi
sous nos yeux.
Le film distille une étrange atmosphère venant sans doute de ce que le film, sous des dehors de documentaire, ne suit pas la ligne du cinéma direct de Perrault, mais bien plutôt celle de Jean Rouch quand il fait jouer des acteurs. Dans Biquefarre, les acteurs, non professionnels, jouent leurs propres rôles, dans des dialogues qui pourraient être les leurs, mais tout cela, pour autant n’est pas un document pris sur le vif. Cette petite différence fait toute la différence et participe du ressenti étrange et puissant du film.
Le film distille une étrange atmosphère venant sans doute de ce que le film, sous des dehors de documentaire, ne suit pas la ligne du cinéma direct de Perrault, mais bien plutôt celle de Jean Rouch quand il fait jouer des acteurs. Dans Biquefarre, les acteurs, non professionnels, jouent leurs propres rôles, dans des dialogues qui pourraient être les leurs, mais tout cela, pour autant n’est pas un document pris sur le vif. Cette petite différence fait toute la différence et participe du ressenti étrange et puissant du film.
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