Ce polar français
de Christian Sengel tient bien son rythme, ses personnages et ses
rebondissements, avec cette affaire autour d’un meurtrier qui se fait repérer
en fredonnant à chaque meurtre la même ritournelle.
Un des intérêts de ce film tourné en fin de guerre (l’histoire est d’ailleurs dénuée de tout propos politique) est de retrouver Bernard Blier revenu de sa détention et dont on a trop oublié tous les films noirs, les polars et autres drames qu’il a tournés, ne retenant le plus souvent que l’acteur comique (et génial) balançant les bons mots de Michel Audiard. Ici Blier est toujours très juste, avec sa fausse bonhommie et sa maladresse dans son rapport aux femmes.
Un des intérêts de ce film tourné en fin de guerre (l’histoire est d’ailleurs dénuée de tout propos politique) est de retrouver Bernard Blier revenu de sa détention et dont on a trop oublié tous les films noirs, les polars et autres drames qu’il a tournés, ne retenant le plus souvent que l’acteur comique (et génial) balançant les bons mots de Michel Audiard. Ici Blier est toujours très juste, avec sa fausse bonhommie et sa maladresse dans son rapport aux femmes.
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