Malgré ce qui
semblait être de solides atouts (Dino Risi derrière la caméra, Vittorio
Gassman et Catherine Deneuve à
l’affiche, Venise en toile de fond), Âmes
perdues déçoit, avec son intrigue peu convaincante, son personnage
principal falot (le jeune neveu Tino) et un rythme peu prenant.
Il est fait bien des mystères dans ce film, avec la volonté d’une ambiance fantastique qui suggère plus qu’elle ne montre, mais tout cela est monté en épingle de façon très artificielle et le nœud de l’intrigue, finalement, se révèle assez abracadabrantesque.
Il reste la belle partition de Gassman, en particulier dans la première partie (avant que son personnage ne sombre dans le Grand Guignol) et, surtout, Venise, joliment filmée, non pas dans ses atours habituels et rayonnants, mais en en faisant le tour par l’extérieur, ou le long de canaux gris ou encore en passant le long de ruelles calmes.
Il est fait bien des mystères dans ce film, avec la volonté d’une ambiance fantastique qui suggère plus qu’elle ne montre, mais tout cela est monté en épingle de façon très artificielle et le nœud de l’intrigue, finalement, se révèle assez abracadabrantesque.
Il reste la belle partition de Gassman, en particulier dans la première partie (avant que son personnage ne sombre dans le Grand Guignol) et, surtout, Venise, joliment filmée, non pas dans ses atours habituels et rayonnants, mais en en faisant le tour par l’extérieur, ou le long de canaux gris ou encore en passant le long de ruelles calmes.
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