Ce court-métrage
d’animation apparaît aujourd’hui, après plus de quarante années
de recul, comme une synthèse incroyable de tout l’univers qu’exprimera Tim
Burton. Y sont déjà présents ses motifs, ses thèmes, ses angoisses, ses
références (de Vincent Price à Edgard Allan Poe). On a l’impression de tenir,
dans une folle prémonition, tout Tim Burton en moins de six minutes.
Mais ce court-métrage interpelle : c’est un peu comme si le Burton de 1982 était déjà empli de tout ce qui fera son cinéma et que rien de nouveau n’était entré dans son crâne pour le hanter depuis tout ce temps.
Mais ce court-métrage interpelle : c’est un peu comme si le Burton de 1982 était déjà empli de tout ce qui fera son cinéma et que rien de nouveau n’était entré dans son crâne pour le hanter depuis tout ce temps.
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