Cette
comédie au grand succès planétaire est rapidement ennuyeuse. On comprend vite
le jeu proposé par le film avec cette dualité de monde imaginé pour l’occasion
(l’idée de Barbyland, en soi, est bien vu). Mais, ensuite, le film tourne à
vide sur un comique de répétition qui n’avance pas et qui montre ses
limites : Barbie cherche à faire
sourire et à rebondir avec les différences ou les ressemblances entre les deux
mondes, et à jouer des influences réciproques.
Bien sûr on a là une critique – au second, troisième ou énième degré, on ne saurait dire – de la société d’aujourd’hui et des rapports homme-femme. A la décharge de Greta Gerwig, il semble bien difficile de produire un propos pertinent sur ce thème de nos jours sans risquer une tempête médiatique. Or l’on sait combien les producteurs d’Hollywood craignent les tribunaux médiatiques et combien ils cherchent à aplanir la moindre rugosité. C’est ainsi que, à part quelques saillies ou bons mots (et encore...), on s’ennuie ferme.
A travers ce rôle, si Ryan Gosling continue d’être lénifiant, ce qui, il faut bien l’admettre, n’est pas un frein quand il s’agit de jouer Ken (le problème est plutôt que, second degré ou non, il semble bien difficile à cet acteur de produire une expression), Margot Robbie, de son côté, à travers ce rôle, assume pleinement son statut de nouvelle bimbo.
Bien sûr on a là une critique – au second, troisième ou énième degré, on ne saurait dire – de la société d’aujourd’hui et des rapports homme-femme. A la décharge de Greta Gerwig, il semble bien difficile de produire un propos pertinent sur ce thème de nos jours sans risquer une tempête médiatique. Or l’on sait combien les producteurs d’Hollywood craignent les tribunaux médiatiques et combien ils cherchent à aplanir la moindre rugosité. C’est ainsi que, à part quelques saillies ou bons mots (et encore...), on s’ennuie ferme.
A travers ce rôle, si Ryan Gosling continue d’être lénifiant, ce qui, il faut bien l’admettre, n’est pas un frein quand il s’agit de jouer Ken (le problème est plutôt que, second degré ou non, il semble bien difficile à cet acteur de produire une expression), Margot Robbie, de son côté, à travers ce rôle, assume pleinement son statut de nouvelle bimbo.
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