Dans cette suite sans saveur d'un premier épisode déjà d’une fadeur rare,
Antoine Fuqua récidive en appliquant la même recette, entre prétention de mise
en scène et petite morale à deux sous. Denzel Washington cachetonne
tranquillement.
Si le film est transparent pour le spectateur (on le voit et, hop ! on l’oublie), il est en revanche une belle planche à billets. On a bien compris
que les producteurs savent parfaitement ce qu’ils font.
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