Adaptation
un peu fade et appliquée du fameux roman de Kundera. Daniel Day-Lewis est très
sous-employé (mais peut-être le personnage est-il trop limité) et il n’est
guère secondé par Juliette Binoche dont la passion enthousiaste et fragile
confine à la naïveté.
Ce sont les moments les plus politiques (l’arrivée des chars à Prague et, surtout, le retour à l’Est) qui forment les séquences les plus réussies ; les avatars sentimentaux de Tomas étant eux filmés de façon sans doute trop ordinaires.
Ce sont les moments les plus politiques (l’arrivée des chars à Prague et, surtout, le retour à l’Est) qui forment les séquences les plus réussies ; les avatars sentimentaux de Tomas étant eux filmés de façon sans doute trop ordinaires.
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