Si le film est parfois amusant avec quelques bonnes séquences ou quelques répliques bien senties, il a beaucoup vieilli et son ton grivois et rustique finit par
lasser. D’autant plus que certains personnages sont bien peu intéressants et rendent l’histoire guère passionnante (le peintre campé par Bernard Fresson notamment).
Jean-Pierre Marielle fait sourire parfois mais il cabotine beaucoup (dans
la séquence du bar en fin de film, par exemple) et son personnage se dissout
dans les répétitions du scénario. Le film, alors, qui partait sur des bases
amusantes (le commercial qui vend ses parapluies), perd un peu son fil et n’est
finalement rien d’autre qu’une farce un peu paillarde mais sans grand intérêt.
Dans le même registre, on préférera peut-être Calmos de B. Blier qui, malgré ses imperfections et ses outrances, a le mérite d’aller au bout de ses idées. Et puis il y a Rochefort (1) pour partager le cadre avec Marielle.
Dans le même registre, on préférera peut-être Calmos de B. Blier qui, malgré ses imperfections et ses outrances, a le mérite d’aller au bout de ses idées. Et puis il y a Rochefort (1) pour partager le cadre avec Marielle.
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