Polar urbain et
rythmé, sans grand intérêt, réalisé par un Ridley Scott qui surjoue la mise en scène du
flic américain rebelle et badboy (Nick Concklin, campé par Michael Douglas, qui
cabotine beaucoup) perdu au Japon, pays des convenances et des mafias.
L’ambition de Scott – qui aimerait bien plonger son personnage dans une ambiance façon Blade Runner – se heurte à une histoire sans surprise et sa volonté de mise en scène (on voit combien l’image se veut aboutie, combien est présente la volonté de créer une atmosphère et combien Scott veut travailler la figure de chevalier rebelle à travers le personnage de Nick) tombe un peu à plat : il n’y a rien de vraiment original, rien qui ne fasse dévier les personnages, lourdement définis d’emblée, de la trajectoire qui leur est assignée.
Malgré les efforts de Ridley Scott, l’argument est donc beaucoup trop mince, le déroulement du scénario beaucoup trop classique et les personnages beaucoup trop fades pour faire de Black Rain un film mémorable.
L’ambition de Scott – qui aimerait bien plonger son personnage dans une ambiance façon Blade Runner – se heurte à une histoire sans surprise et sa volonté de mise en scène (on voit combien l’image se veut aboutie, combien est présente la volonté de créer une atmosphère et combien Scott veut travailler la figure de chevalier rebelle à travers le personnage de Nick) tombe un peu à plat : il n’y a rien de vraiment original, rien qui ne fasse dévier les personnages, lourdement définis d’emblée, de la trajectoire qui leur est assignée.
Malgré les efforts de Ridley Scott, l’argument est donc beaucoup trop mince, le déroulement du scénario beaucoup trop classique et les personnages beaucoup trop fades pour faire de Black Rain un film mémorable.
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