On a beau savoir que l’exploitation
de filon ne donne jamais rien de bon, ce quatrième épisode mettant en scène Rocky
Balboa – dont l’histoire cinématographique avait pourtant bien commencé – est pathétique.
L’ami Rocky se trouve un nouvel adversaire, encore plus invincible : quand Clubber Lang, le méchant garçon du troisième opus, tuait son entraineur, ici, Ivan Drago, l’affreux venant de l’autre côté du rideau de fer, tue rien moins qu’Appollo Creed, son ancien adversaire… Cette entrée en matière résume beaucoup de choses : quand les requins des Dents de la mer successifs sont toujours plus gros, ici le méchant est toujours plus costaud. Le reste du film n'apporte rien, aucune surprise, aucune perspective, bien loin de la conclusion remarquable du premier film (où Rocky, rappelons-le, perd son match, mais gagne sa respectabilité). Pauvre Rocky, bien maltraité par son inspirateur et créateur : Sylvester Stallone, qui cumule ici scénario et réalisation (en plus d'incarner le personnage), s'il est un acteur massif et peu expressif est incommensurablement pire encore, en terme de lourdeur, comme réalisateur...
Mais, comme une fatalité, ce film – très mauvais et bien loin du premier épisode qui était réussi – est celui qui a le mieux marché au box-office, rapportant près de dix fois la mise de départ…
L’ami Rocky se trouve un nouvel adversaire, encore plus invincible : quand Clubber Lang, le méchant garçon du troisième opus, tuait son entraineur, ici, Ivan Drago, l’affreux venant de l’autre côté du rideau de fer, tue rien moins qu’Appollo Creed, son ancien adversaire… Cette entrée en matière résume beaucoup de choses : quand les requins des Dents de la mer successifs sont toujours plus gros, ici le méchant est toujours plus costaud. Le reste du film n'apporte rien, aucune surprise, aucune perspective, bien loin de la conclusion remarquable du premier film (où Rocky, rappelons-le, perd son match, mais gagne sa respectabilité). Pauvre Rocky, bien maltraité par son inspirateur et créateur : Sylvester Stallone, qui cumule ici scénario et réalisation (en plus d'incarner le personnage), s'il est un acteur massif et peu expressif est incommensurablement pire encore, en terme de lourdeur, comme réalisateur...
Mais, comme une fatalité, ce film – très mauvais et bien loin du premier épisode qui était réussi – est celui qui a le mieux marché au box-office, rapportant près de dix fois la mise de départ…
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