Très
beau film de Hayao Miyazaki, avec une teneur plus personnelle et intime que ses réalisations
précédentes. Il y a beaucoup de ses propres rêves dans ceux de Horikoshi.
On retrouve, bien sûr, toute la poésie douce du réalisateur japonais. Il parvient d’ailleurs à éviter (autant que faire se peut) les jeux de guerre, alors que le film s’appuie sur la biographie de l’ingénieur qui va bientôt concevoir les terribles chasseurs Zéro de la seconde guerre mondiale. Miyazaki, alors, fidèle à son regard et à son esthétique filme avec douceur et onirisme cette histoire, abandonnant les contes fantastiques (Nausicaä, Chihiro, etc.) pour se tourner vers l’enfance et la réalisation de ses rêves.
On retrouve, bien sûr, toute la poésie douce du réalisateur japonais. Il parvient d’ailleurs à éviter (autant que faire se peut) les jeux de guerre, alors que le film s’appuie sur la biographie de l’ingénieur qui va bientôt concevoir les terribles chasseurs Zéro de la seconde guerre mondiale. Miyazaki, alors, fidèle à son regard et à son esthétique filme avec douceur et onirisme cette histoire, abandonnant les contes fantastiques (Nausicaä, Chihiro, etc.) pour se tourner vers l’enfance et la réalisation de ses rêves.
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